Rencontreà Paris avec le dessinateur de BD Blutch, qui préside le Grand Jury du Festival d'Angoulême 2010 Accès au menu d’accessibilité aller au contenu principal
Bulyne, TommCee Cee & Tomm = ZUne équation mathématique ?Peut-être… mais c’est certainement un scénario de Cee Cee Mia dessiné par Tomm Bulyne qui donne la série Evolution Z » dont le premier album porte L’île » comme titre.Plus...Carpentier, Louis-MichelCrédit est mort, La tournée du patron, Le lendemain de la veille... et oui, le dessinateur Du côté de chez Poje est parmi nous !Les Malheurs de Sophie, Les petites filles modèles, Les Mémoires d'un âne... mais non, nous n'avons pas la Comtesse de Ségur dans notre festival BD ! Simplement Louis-Michel Carpentier est assez éclectique pour, notamment, dessiner à la fois Poje et les aventures racontées par la Comtesse de Ségur. Plus...Cee Cee Mia Houatmia, CélineCee Cee Mia, c’est un drôle de nom n’est-ce pas ? Dernière cet énigmatique pseudo se cache une scénariste plutôt voyageuse… mais née à Namur !Trouverez-vous un peu de belgitude dans La Brigade des Souvenirs» et "Au-delà des étoiles" ? Plus...Coppée, ThierryThierry Coppée à participé à l’album intitulé La BD qui fait du bien ».Nous savons, bien sûr, que toutes les BDs nous font du bien… mais celles de Thierry un peu plus que d’ effet, l’univers des Blagues de Toto nous ramènent au temps de notre enfance, et qu’est-ce qu’on y est bien… Plus...Cossu, AntonioL’origine est peut-être italienne, mais c’est quand même un bon produit belge !Antonio Cossu publie dans Spirou dès 1976, on ne s’étonne donc pas de la longue liste des albums où il est intervenu, que ce soit comme scénariste ou dessinateur. Plus...Cuneo, AndreaAndrea Cuneo, alias Qunix, n’est pas qu’un dessinateur de BDs. Il travaille également pour les jeux vidéo et l'animation. Révisez votre italien avant de lui demander une dédicace ! Andrea Cuneo viendra dédicacer, en avant-première, son nouvel album de la série Les Maîtres Inquisiteurs. Il s’agit du 18ème tome L’île de la fin du monde.Plus...De Vincenzi, AlessiaFrance, Lille, Nice ? Au vu de ses albums, Alessia De Vincenzi serait-elle française ? Non, non, comme son nom le laisse supposer, elle est ratez pas les deux tomes de Les reines de sang - Frédégonde, la sanguinaire ». Plus...Di Sano, BrunoHé, hé, coquin le Salvator !D'abord, il se fait appeler Bruno, et puis il faut voir son site Web... que des jolies filles...Et avant de s'occuper de Rubine, il paraît qu'il a produit pas mal d'albums coquins et participé à encore plus de recueils collectifs tout aussi coquins !Plus...Dizier, StéphaneVolonté de travailler en " circuit-court", de respecter le savoir-faire régional, d'imprimer ses albums dans la région Liègeoise Stéphane Dizier et la Brocante de Temploux étaient faits pour se rencontrer !La série "Ainsi font les rivières" démarre avec "Le silence" comme premier tome, le tome 2 sera intitulé "La dérive".Plus...Gil, Iván Gil Fernandez, IvánVous aimez les uniformes ? Surtout les anciens ? Alors vous devez rencontrer le madrilène Iván Gil a notamment dessiné La Bataille. Mayo de 1809 el ejército de Napoleón se prepara para cruzar el Danubio… » Et oui, Madrid c’est en Espagne !Plus...Goffaux, Gérard Là il y a de la variété !Les séries ou albums que dessine Gérard Goffaux surprennent ainsi surprendre par son album La mort à lunettes…Plus...Iko Ricciardi, GiuseppeDurango, c’est de Swolfs, non ?Et bien oui, mais Iko en a dessiné les derniers albums !Dans un autre genre, l’italien Iko est aussi le dessinateur de Ténèbres.Plus...Kas Kasprzak, Zbigniew Zbigniew Kasprzak, ou Kas, est né en Pologne. Caricaturiste, son coup de crayon corrosif lui a valu, en 1977, le premier prix de la Triennale de la Satyre de Łódź. En 1988, c’est un nouveau premier prix, pour l’affiche de l’Exposition de BD polonaise au Festival de Sierre, qui lui a permis d’entrer dans l’univers de la bande dessinée a déménagé en Belgique en 1993. Depuis lors, il a travaillé sur des séries telles que Hans, Les Voyageurs ou Halloween Blues, des histoires réalistes.Plus...Krings, Jean-MarcJean-Marc Krings a repris la célèbre série de Roba La Ribambelle. Avec ce thème, Jean-Marc Krings fait partie des rares dessinateurs BD à avoir réalisé un timbre à date temporaire."Une héroïne black traverse le temps pour offrir des vacances de rêve a une Elite..." c'est la série de science fiction nommé Agence Quanta avec Jean-Marc Krings au scénario et au puis il y a aussi Violine et Fanny K qui seront invitées à Temploux !Plus...Lacroix, BenoiUn régional ! Benoi Lacroix est professeur de dessin à Namur,d’où l’album La ville rêvée » que tout Namurois se doit d’avoir chez soi !En plus classique, on trouve Mao, et en moins classique… visitez le site de Benoi Lacroix.Plus...Luguy, PhilippeNé à Paris, en novembre 1948, Philippe Luguy a forcément du métier dans le dessin. Il suffit de lire Percevan » pour s’en plus de ses albums et publications variées, Luguy a aussi travaillé pour la télévision française ! .Attention Nous en serions désolés, mais Philippe Luguy, pour une raison indépendante de sa volonté, pourrait ne pas être des nôtres ce weekend. Veuillez vous assurer de sa présence avant d'acheter des albums à dédicacer.Plus...Lupattelli, CaritaDécouvrez le Japon fantastique vu par une Italienne. Carita Lupattelli nous fait une splendide et colorée démonstration graphique dans un univers oriental Izunas est un nouveau cycle de la Légende des Nuées écarlates, toujours avec Tenuto au scénario, mais avec Carita maintenant au dessin et aux couleurs. Plus...Maconi, GianlucaFana des Elfes ? Alors vous devez rencontrer Gianluca Maconi !Il vous séduira avec sa série appelée… Elfes ». Mais aussi avec Azaqi et Elya. Vous êtes plus rock » qua fantasy » ? Alors tournez-vous plutôt vers Jimi Hendrix Requiem Electrique ».Plus...Marc-Renier Warnauts, Marc-RenierJackson, Le masque de fer, Melmoth, Black Hills… ce sont quelques séries dessinées par Marc-Renier. Sa bibliographie est bien sûr bien plus longue pour ce belge ayant débuté dans la bande dessinée dès 1982. Plus... Mezzomo, GillesGilles Mezzomo, qui vit dans l'est de la France, a longtemps travaillé pour la SNCF et occupé ses loisirs... à dessiner. Il adore les histoires qui se déroulent dans un train ! Il débute avec Spirou qui l'incite à dessiner le " Roi vert", l'adaptation en BD du roman éponyme de Paul-Loup Sulitzer. Quatre volumes se succéderont ! Denis Lapière lui propose ensuite de dessiner une nouvelle série, "Luka".Vous aimez la "patte Mezzomo" ? Alors ne manquez pas "Ethan Ringler, agent fédéral", "Les maîtres des îles" ou encore "Le vétéran" !Plus... Paquet, RobertVroom, vroom… ancien auteurs du studio Graton, Robert Paquet a dessiné les aventures de Michel Vaillant pendant plusieurs années. Les amateurs de belles voitures seront servis ! Mais Robert Paquet peut aussi développer son art dans un tout autre univers découvrez donc Une enquête de Léonard de Vinci ». Plus... Pellet, PhilippeFantasy, fantasy, où es-tu ? … mais dans les Forêts d’Opale !C’est là que Philippe Pellet nous entraîne. On y trouve un clergé puissant et omniprésent, mais aussi de bien jolies, quoique redoutables, guerrières. On trouve aussi des guerrières dans Atalante et Les filles de Soleil. Pour le bon équilibre, Philippe Pellet dessine aussi des guerriers, dans… Les Guerriers… ou encore Sheïd. Plus... Renaud Denauw, RenaudSouvenez-vous d'Enola Gay...Eh oui, cette année Temploux, accueille Monsieur Denauw, plus connu sous son prénom et pseudo Renaud... Et vous avez bien sûr reconnu le titre du premier album de Jessica Blandy. A moins que vous ne soyez plus portés sur Santiag ou encore Venus H. ?Mais si vous relisez Brelan de Dames, vous verrez que, si le style réaliste de Renaud n'est pas encore présent, ses préférences en matière d'idéal féminin sont déjà bien exprimées ! Plus... Stédo Dauvin, StéphaneSi vous voulez une biographie complète et longue, longue, longue… allez sur le site officiel de Stédo, vous ne serez pas déçu !Pour les autres, il vous suffit de savoir que Stédo dessine Boulard, Garage Isidore, Les Pompiers… et autres BDs à découvrir sur le site officiel ! Plus... Vanon Van Oppen, PatrickDessinateur belge, né à Genk en 1969, Patrick Van Oppen, aussi connu sous le pseudo Vanon,a produit de nombreux albums en néerlandais. Notamment deux albums qui illustrent l’enfance fictive ? de Tom Boonen [Champion du monde de cyclisme sur route en 2005], mais aussi De Vries, Mr Nobody, Quinn Novak… Plus... Vukic, BojanOrcs, Gobelins, Oracles, Mages, Elfes… vous saisissez l’atmosphère ?Si vous n’avez pas peur de l’étrange et du fantastique, vous oserez peut-être demander une dédicace au Serbe Bojan Vukić ! Plus... Wasterlain, MarcONé le 29 juin 1946 à Erquelinnes, Marc Wasterlain commence la bande dessinées en créant des décors et en encrant "Modeste et Pompon". Plus tard il dessinera des "Schtroumpfs", collaborera à un "Benoît Brisefer" et finalement c'est en 1975 qu'il crée le poétique "Docteur Poche".Il continue ensuite à créer... Les Pixels sont charmants et à mettre entre toutes les mains, mais que dire de Sortilège ? A vous de voir... ou non.Plus... La liste des dessinateurs présents au Festival est adaptée jusqu'au dernier moment !
Lemicrocosme français de la bande-dessinée est en deuil car il vient de perdre l’un de ses plus illustres représentant. Le dessinateur Jean-Claude Mézières est décédé à l’âge de 83
Voici toutes les solution Dessinateur de BD tourné vers la science-fiction. CodyCross est un jeu addictif développé par Fanatee. Êtes-vous à la recherche d'un plaisir sans fin dans cette application de cerveau logique passionnante? Chaque monde a plus de 20 groupes avec 5 puzzles chacun. Certains des mondes sont la planète Terre, sous la mer, les inventions, les saisons, le cirque, les transports et les arts culinaires. Nous partageons toutes les réponses pour ce jeu ci-dessous. La dernière fonctionnalité de Codycross est que vous pouvez réellement synchroniser votre jeu et y jouer à partir d'un autre appareil. Connectez-vous simplement avec Facebook et suivez les instructions qui vous sont données par les développeurs. Cette page contient des réponses à un puzzle Dessinateur de BD tourné vers la science-fiction. Dessinateur de BD tourné vers la science-fiction La solution à ce niveau enkibilal Revenir à la liste des niveauxLoading comments...please wait... Solutions Codycross pour d'autres langues
SÉRIESTÉLÉ - Joe E. Tata, qui jouait Nat, l’aimable propriétaire du Peach Pit dans la série Beverly Hills, 90210, est décédé à l’âge de 85 ans, a annoncé sa fille jeudi 25 août.
Codycross est un jeu mobile dont l'objectif est de trouver tous les mots d'une grille. Pour cela, vous ne disposez que des définitions de chaque mot. Certaines lettres peuvent parfois être présentes pour le mot à deviner. Sur Astuces-Jeux, nous vous proposons de découvrir la solution complète de Codycross. Voici le mot à trouver pour la définition "Dessinateur de BD tourné vers la science-fiction" groupe 279 – grille n°5 enkibilal Une fois ce nouveau mot deviné, vous pouvez retrouver la solution des autres mots se trouvant dans la même grille en cliquant ici. Sinon, vous pouvez vous rendre sur la page sommaire de Codycross pour retrouver la solution complète du jeu. 👍
Puisil intègre dans la foulée la page « En direct de la rédac » où il réalise chaque semaine un dessin sous le titre générique « Le XXIe siècle est parmi nous ». Depuis plus de vingt ans, Berth essaie dans Spirou d’appréhender ce qui l’entoure par un dessin tourné vers le non sens et l'absurde. Mais comme l’absurde et le non sens sont déstabilisants, il enrobe son dessin
Pixels Romans, films, jeux vidéo, mangas... A l’occasion des Utopiales de Nantes, festival de SF consacré cette année au corps, Pixels a sélectionné huit œuvres sur le transhumanisme. LES CHOIX DE LA MATINALE A l’issue de six jours de festival, les Utopiales de Nantes, événement annuel consacré à la science-fiction, ferment leurs portes lundi 5 novembre. L’édition 2018 avait pour thème central le corps. Le transhumanisme, soit l’amélioration du corps humain grâce à la technologie, a donc naturellement occupé une bonne partie des discussions. Pixels a sélectionné huit œuvres incontournables sur la question. Roman La musique du sang » Ce court roman de Greg Bear, publié en 1983, propose une vision à la fois idéale et cauchemardesque de l’amélioration » de l’être humain. Il suit Vergil Ulam, un jeune généticien talentueux qui travaille, à l’insu du laboratoire qui l’emploie, sur un projet de micro-ordinateurs biologiques de la taille d’une cellule humaine. Lorsque l’existence de son projet est découverte, Vergil Ulam est licencié, et s’injecte ses cellules de test pour pouvoir les sortir discrètement du laboratoire. Dans les semaines qui suivent, sa myopie disparaît, il se sent plus fort, plus vif, au fur et à mesure que ses créations remplacent les cellules de son corps. Mais quand elles commencent à se transmettre à d’autres, à une vitesse exponentielle, c’est la nature même de l’humanité qui se retrouve menacée... Grand classique au rythme impeccable, La musique du sang a remporté le prix Hugo et le prix Nebula à sa sortie. Manga & anime Ghost in the Shell » Pilier de la SF japonaise, le manga de Masamune Shirow, puis la série animée Ghost in the shell a posé dès 1989 une marque indélébile sur les réalisateurs cyberpunks à venir, à l’image des Wachowski via leur trilogie Matrix. Ghost in the Shell relate, dans une société où les corps humains sont boostés » aux nouvelles technologies, la traque d’un pirate informatique de haute volée, le Puppet Master, par la major Motoko Kusanagi, une femme cyborg. Si l’on y dézingue à tout-va, la série doit se lire également comme une fable existentialiste. Dans Ghost in the Shell, ce qui distingue les robots des humains est précisément que ces derniers recèlent un ghost ». Sans forcément parler d’une âme, on peut l’appréhender comme l’esprit, la conscience. Ainsi l’héroïne Motoko Kusanagi, hybride faite de cellules humaines et d’un corps mécanique, ne cesse de s’interroger sur son existence, l’authenticité de son ghost » et sa part d’humanité. Roman Dune » Et s’il fallait dépasser les limites de la perception et de l’intelligence humaine pour que nous puissions explorer l’espace ? Dans Dune 1965, la saga épique de Frank Herbert qui décrit l’évolution de l’humanité sur plusieurs siècles, tout est bon pour repousser ce dont est capable le corps humain. A commencer par ceux des navigateurs, capables de guider les vaisseaux voyageant plus vite que la lumière en évitant les obstacles grâce à la puissance de l’Epice, la drogue miraculeuse qui permet de voir » dans l’avenir et colore en bleu le blanc des yeux de ceux qui la prennent. Mais aussi ceux des femmes du Bene Gesserit, ordre mi-religieux, mi-guerrier, dont les membres apprennent à contrôler leur corps et leur métabolisme à un degré inouï par la seule force de leur volonté, et développent des capacités surhumaines. Comme la voix », à laquelle on ne peut qu’obéir... Film Robocop » Le classique de Paul Verhoeven, sorti en 1987, pose les grandes questions du transhumanisme sous ses dehors de film d’action ultraviolent et bas du front. Alex Murphy, le policier qui survit gravement amputé après une tentative d’assassinat, se retrouve transformé en un être 50 % homme, 50 % machine, 100 % flic ». Mais ce policier impitoyable et incroyablement efficace est-il encore le Alex Murphy aimant et dévoué que connaît sa femme ? En l’améliorant », la sinistre corporation OCP a-t-elle détruit sa personnalité ? Les allergiques à l’esthétique des années 1980 pourront se rabattre sur le très correct reboot sorti en 2014, qui n’apporte pas de grande amélioration à l’histoire mais bénéficie de moyens techniques conséquents. Jeu vidéo Deus ex Human Revolution » Il n’a jamais demandé ça victime d’un attentat perpétré au siège de Sarif Industries, l’agent de sécurité Adam Jensen a vu la mort de près. Sa vie, il la doit à son employeur, le Apple de la prothèse bionique. Doté de nouveaux bras, de nouvelles jambes, d’un nouveau corps, il ne fait pas que survivre il est désormais augmenté. Plus fort, plus rapide, plus résistant, le voilà certes ressuscité, mais aussi, désormais, la chose » de Sarif, qui le lance à la poursuite des terroristes, des opposants radicaux au transhumanisme. Mais qui en veut vraiment à Sarif Industries ? Que cache la neuropozyne, cette drogue que les millions, les milliards de clients de Sarif consomment tous les jours pour ne pas rejeter leurs implants ? Et que se passerait-il si le code embarqué par toutes ces prothèses bioniques tombait entre les mains de gens mal intentionnés ? Autant de questions avec lesquelles joue le jeu d’action, d’infiltration et d’anticipation Deus Ex Human Revolution, ainsi que sa suite, Human Divided. Roman La Sonate Hydrogène » de Iain Banks Comment archiver sa mémoire lorsqu’on vit plusieurs dizaines de milliers d’années, et que notre cerveau ne dispose que d’un espace limité ? Le roman La Sonate Hydrogène, paru en 2012 et écrit par l’écossais Iain Banks dans le cadre de son ambitieux cycle de la Culture, apporte une solution. Le livre se déroule dans une civilisation qui a développé des capacités technologiques et un système politique intergalactique extrêmement abouti et contrôlé par des intelligences artificielles. Parmi les nombreuses intrigues la recherche d’un dénommé QiRia, et des souvenirs qu’il pourrait avoir des discussions diplomatiques qui se sont tenues 10 000 ans auparavant. Au détour d’un passage, le personnage explique que pour garder des souvenirs si anciens à disposition, il ne dispose pas d’un ordinateur dans la tête », mais d’une capacité de stockage supplémentaire » Il est en moi. A travers moi. Il y a énormément de place dans le corps humain pour stocker des données, une fois qu’on sait coder les bases nécessaires et installer un système de lecture à nanofil à travers les hélices. J’ai commencé par les tissus conjonctifs, ensuite les os, et maintenant, même les organes les plus vitaux ont un stockage incorporé. Ça ne les empêche pas de fonctionner, et ça apporte même certaines améliorations en terme de solidité des os. » Problème pour l’héroïne Vyr Cossont, les souvenirs concernés étaient situés dans les yeux de QiRia, dont il s’était débarassé pour les remplacer par d’autres organes... Une anecdote savoureuse et bien sûr encore irréaliste dans notre société actuelle, mais qui pourrait préfigurer des questions à venir en cas de modifications des capacités du corps humain, et de la gestion à réaliser du poids » de nos souvenirs. Profitez bien de vos clés USB. Comics Transmetropolitan » Dans les soixante numéros de cette mini-série, on colle aux talons d’un journaliste déjanté, camé à des substances inquiétantes, qui déambule au pas de course dans un univers où tous nos repères sont bousculés. On y croise des humains augmentés bardés d’implants technologiques qui leur confèrent des qualités étranges. On y découvre surtout des transités » à l’ADN mutant, parqués dans un quartier réservé, qui revendiquent le droit à la différence et la liberté de travailler. Leur apparence troublante n’est plus tout à fait celle d’un membre de l’espèce humaine. D’autres habitants de cet immense continuum urbain décident plus radicalement de couper avec leur enveloppe corporelle pour charger leur âme dans le nuage, et y vivre librement dans un univers numérique et immatériel. Publiée autour des années 2000 par un scénariste anglais, Warren Ellis, Transmetropolitan est une BD profonde, captivante, haletante, devenue une référence pour les passionnés qui bricolent l’ADN de plantes ou de bactéries en amateur. Série Black Mirror » Série phare des amateurs de dystopies, Black Mirror propose des épisodes totalement indépendants les uns des autres, qui évoquent chacun le dérapage d’une technologie. Parmi les nombreux thèmes abordés, celui du transhumanisme revient dans chacune des quatre saisons que compte, pour l’instant, cette série née au Royaume-Uni. Dans Retour sur image, saison 1, épisode 3, les humains sont équipés d’un système leur permettant d’enregistrer et de rediffuser tous leurs souvenirs – une technologie qui mettra un couple en difficulté, confronté à des soupçons d’adultère. Dans Archange saison 4, épisode 2, une petite fille se voit implanter une puce permettant de la surveiller à distance, mais aussi de filtrer ce qu’elle voit, afin de lui éviter des images choquantes. L’expérience va déraper. Black Mirror s’intéresse aussi, dans deux épisodes remarqués, à l’immortalité que pourrait offrir la technologie. Dans Bientôt de retour saison 2, épisode 1, une entreprise fabrique des humanoïdes à l’image de personnes décédées, en se basant sur leurs données personnelles. San Junipero saison 3, épisode 4 aborde aussi la question de l’immortalité, à travers l’épisode le plus joyeux de cette sombre série. Pixels
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BiographiePhilippe Druillet nait le 28 juin 1944 à Toulouse. Peu après sa naissance, ses parents s'expatrient en retourne en France à Paris en 1952, après la mort de son père. Durant cette période il n'arrive à se faire accepter auprès de ses camarades que comme l'artiste, le marginal, couvrant des cahiers entiers de dessins. Philippe Druillet considère cette période comme prédominante pour son évolution future. Vers 13-14 ans, il se tourne vers la science-fiction et découvre Lovecraft. Après son certificat d'étude, il devient photographe et rencontre vers 16-17 ans Jean Boullet. Ce dernier lui a appris les bases du dessin et de la peinture et lui a ouvert l'esprit sur l'esthétisme et la folie. Son premier livre paraît en 1966 chez Losfeld. Intitulé Le Mystère des abîmes, il met en scène son héros récurrent Lone Sloane sur le thème de la science-fiction. Pressé par son éditeur de boucler son album, il fait les 30 dernières planches en deux mois et par la suite qualifie le Sloane de chez Losfield [de] très mal dessiné ». Grâce à ce premier album, il entre chez OPTA où il réalise des couvertures et des illustrations car il ne touchera pratiquement rien des droits d'auteur du Mystère des abîmes. C'est aussi à cette époque qu'il rencontre sa femme Nicole. En 1969 il montre quelques planches d'Yragaël à Jean Giraud, et Goscinny lui donne son accord pour 8 planches dans le journal Pilote. Il y poursuit la saga de Lone Sloane voir Delirius dans un style de plus en plus flamboyant, innovant par une mise en page audacieuse et l'introduction d'images de synthèse dans les décors. En 1974, suite à des désaccords avec la rédaction de Pilote, il quitte le journal et fonde, avec Giraud, Métal hurlant et la maison d'édition Les Humanoïdes Associés. Cet album marque un tournant dans l'œuvre de Druillet, car il se lie intimement à l'accompagnement de sa femme dans la maladie, jusqu'à son décès. Très abouti graphiquement, l'album est caractérisé par une colorisation qui franchit un cap et un découpage novateur très efficace, au service d'un récit empreint d'un fort pessimisme. Le dessinateur a été durablement touché par la mort de sa compagne et ce livre, qui lui est dédié, est un moyen pour lui d'exorciser la douleur. De tous les univers de Druillet, La Nuit est probablement le plus sombre, le plus nihiliste. En 1980, Druillet produit Salammbô, une trilogie inspirée par le roman éponyme de Gustave Flaubert. La trame mélange l'invention pure et le suivi fidèle du récit de Flaubert. En 1996, il reçoit le Grand Prix national des Arts graphiques. Il a également réalisé les décors de la série télévisée Les Rois maudits version 2005. Affiches d'art, sérigraphies numérotées signées, sont disponibles dans cette rubrique.
AndréPapazian – scénariste de Zorro. Fils du dessinateur de bandes dessinées Jean Pape (1920-2002), connu pour ses BD de Zorro, Sergent O’Brien ou Mick Arsène, André Papazian est un auteur-scénariste atypique qui évolue dans les domaines du voyage en train, de la batellerie de plaisance, du tourisme et de la BD.
SERIE Professeur Infini DESSINATEURS SCENARISTES EDITEURS COLLECTION PRIX 16 € DATE DE SORTIE 05/06/2015 EAN 2070655016 Achat Brillant scientifique, le Professeur Infini a vu sa carrière basculer le jour où l’une de ses expériences sur les univers parallèles a malencontreusement tourné à la catastrophe, le transformant en petit homme bleu et perturbant par la même occasion l’équilibre des univers ! Depuis cet instant, il déploie toute son énergie, et son savoir, pour tenter de réparer les dégâts. Pour retrouver son apparence initiale, il lui faut recréer un passage vers la dimension qu’il a endommagée. À cette fin, le Professeur Infini s’est entouré d’une équipe de choc composée de compagnons assez curieux, Olrik, Miss Ward, Iva ou encore Miles, tous dotés de pouvoirs étonnants. Pour cette bande d’aventuriers, tout va subitement se bousculer et s’accélérer avec la découverte d’une humanoïde à la peau bleue ! Sera-t-elle la clé de tous les problèmes du Professeur Infini, ou au contraire le catalyseur de ses soucis ? La collection Bayou, que les éditions Gallimard et Joann Sfar chouchoutent depuis une dizaine d’années maintenant, accueille cet été deux petits nouveaux dans leurs rangs en la personne du Professeur Infini et de Marc Lataste son créateur, qui publie ici son tout premier album BD au format papier. Rapidement, on perçoit chez cet auteur, qui en parallèle s’intéresse depuis longtemps aux webcomics et à la BD numérique, de multiples influences issues du monde de la BD, de l’animation et des jeux vidéo des années 80 et 90. Les jeunes quarantenaires qui ont grandi dans ces univers retrouveront avec plaisir de nombreux clins d’oeil sympathiques. Mais cette aventure où la science-fiction prédomine s’adresse également aux jeunes lecteurs qui n’auront pas de mal à adhérer au scénario parfaitement huilé qui leur est proposé. De l’action, du mystère, un voile de sentiments, des péripéties et des rebondissements, tout cela s’articule et prend forme avec beaucoup de fluidité tout au long des 96 pages bien rythmées de cet album. Côté dessin, tout est aussi simple et efficace, un trait assuré, un traitement des couleurs percutant et des personnages attachants. Toutes les influences sont parfaitement maîtrisées et ne plombent pas, loin de là, la dynamique créée ! Ce premier tome ouvre pas mal de pistes pour la suite et on espère que Marc Lataste aura l’occasion d’approfondir son univers avec une suite à la hauteur de ce premier essai, transformé haut la main !
Dessinateurde BD tourné vers la science-fiction. D'un air complètement hagard. Dont l'humeur varie très souvent. Aîné d'une fratrie . Clause particulière dans un contrat. Inspirer une force à quelqu'un. Légitimité d'une décision. Sentiment de confiance en l'avenir. Poisson très commun, aussi appelé morue. Terrain de jeu de Garry Kasparov. Qu'est ce que je vois? Grâce à vous la
TUSTOMU NIHEI / GLÉNAT Pixels Mangas Publié le 25 janvier 2019 à 09h17 - Mis à jour le 25 janvier 2019 à 09h17 Méga-PixelsLe créateur de la série de mangas Blame ! » est un des premiers dessinateurs japonais à avoir popularisé le genre en France. Le Festival d’Angoulême lui consacre une exposition. Printemps 2000. Dans les rayons manga des librairies françaises encore clairsemés, les lecteurs découvrent un nouveau récit de science-fiction corrosif. Ils suivent les pérégrinations de Killee, un héros taciturne qui arpente une immense cité métallique et mécanique, à la recherche d’un génome sain, vestige d’une époque où les humains et les machines ne se confondaient pas tant. L’histoire est brutale. Le dessin est sombre, brut, novateur L’histoire est brutale, quasi muette, sujette à toute interprétation et tout fantasme. Le dessin est sombre, brut, novateur. Son nom résonne contre les parois de son décor étouffant Blame !. Son auteur, Tsutomu Nihei, est un jeune inconnu. Vingt ans plus tard et au terme d’une production de séries qui ne s’est jamais suspendue, ce maître de la science-fiction japonaise est mis à l’honneur dans une exposition au Festival international de la bande dessinée d’Angoulême qui se tient du jeudi 24 au dimanche 27 janvier. Blame ! fait partie des premières œuvres qui ont facilité l’introduction du manga en France, notamment à destination des adultes », rappelle Satoko Inaba, directrice éditoriale chez Glénat, l’éditeur français de M. Nihei. En grande partie parce qu’il s’agit d’une œuvre cyberpunk universelle et compréhensible, contenant très peu de codes japonais. » Une mise en images du désenchantement du Japon Fan d’architecture, des romans du pape du cyberpunk William Gibson et des créatures façonnées par Hans Ruedi Giger pour le film Alien, Tsutomu Nihei s’inscrit dans la lignée des mangakas, comme Katsuhiro Otomo Akira ou Masamune Shirow Ghost in the Shell, qui ont mis en images le désenchantement du Japon après une période de reconstruction post-seconde guerre mondiale, faste et pleine de fascination pour la technologie. Lire aussi Ghost in the Shell » des intelligences artificielles et des hommes Au Japon, la science-fiction n’est pas très populaire », raconte l’auteur au Monde. Avant de développer avec le sourire En réalité, je n’aime pas qu’on me dise que je suis un auteur de SF [science-fiction] car je ne veux pas être catégorisé, d’autant que j’aime mélanger les genres. Pour “Aposimz”, j’interdis à tout le monde d’utiliser le terme de SF car, dès qu’ils entendent ce mot, les gens n’achètent plus. Ce n’est pas du tout pour nier la SF, mais plutôt pour élargir le public. Quant aux fans, eux savent dès les premières pages que ç’en est. » En fer de lance du cyberpunk japonais, Tsutomu Nihei est archétypal de la science-fiction des dix dernières années, qui digère les différents courants de ce genre, intègre énormément d’influences occidentales », estime Stéphane Ferrand, le commissaire de l’exposition angoumoisine consacrée au maître. L’auteur, né en 1971 dans la préfecture de Fukushima, aime s’amuser des codes de l’horreur, mais aussi faire appel dans ses séries les plus récentes au space opera Knights of Sidonia, ou encore inventer des récits postapocalyptiques, à l’instar de sa dernière série, Aposimz, qui vient de paraître en France. Il invoque également des genres populaires japonais comme le mecha, qui met en scène des hommes dans des robots géants, et fait de nombreux clins d’œil à des créatures ou plans célèbres de Moebius, Enki Bilal ou encore Stanley Kubrick. Lire aussi Aposimz », le nouveau manga cyberpunk de l’auteur de Blame ! » J’aimerais qu’il y ait plus de clones » Le transhumanisme traverse l’œuvre de Tsutomu Nihei Dès ses débuts au milieu des années 1990 et jusqu’à Aposimz, qui raconte comment un groupe d’exilés tente de survivre sur un astre artificiel ravagé, Tsutomu Nihei n’a eu de cesse d’explorer la fusion de l’être humain et de la machine. Dessiner la chair qui se mécanise et se transforme, questionner la part et la perte d’humanité de ces hybrides… Le transhumanisme traverse la bibliographie de l’auteur. Je montre des univers dans lesquels les gens ont déjà avancé sur le sujet et sont allés très loin, et ce qui en a découlé après. C’est comme anticiper dès maintenant les questions qui se poseront demain », résume le dessinateur. Nihei pourrait faire sienne la formule de Rabelais “Science sans conscience n’est que ruine de l’ame” », estime Stéphane Ferrand. Des sujets aux portes de notre époque et pour lesquels le mangaka s’enthousiasme, sans inquiétude. J’espère que les progrès vont s’accélérer, même si des questions morales freinent. J’aimerais qu’il y ait plus de clones par exemple, ou que le design génétique soit démocratisé. Ce qui me gêne en revanche aujourd’hui, c’est que, par exemple, une personne amputée va toujours avoir besoin d’un médecin ou d’un spécialiste pour la maintenance de la partie artificielle. L’idée de maintenance me dérange. » Si Tsutomu Nihei admet bien volontiers ses influences, il n’aime guère expliquer les nombreuses références qu’il maintient d’une série à l’autre, comme la présence transversale de certaines entités commanditaires et secrètes l’agence de santé publique ou encore l’industrie TOA. Moi-même quand je lis les œuvres et que j’y trouve des ressemblances, des références, j’ai envie de demander à l’auteur si ça fait partie d’un ensemble, s’il y a une explication. Mais je sens que s’il répond je vais être déçu. Alors en ce qui me concerne, je préfère ne pas répondre et laisser mes lecteurs se faire leur idée. Je compte encore faire quelques séries, et ce n’est qu’après que j’expliquerai. » Vers un style plus accessible Insondable comme ses héros, l’auteur japonais entretient le flou sur l’interprétation de son œuvre. C’est en ce sens qu’il a une vraie démarche d’auteur. Il rêve d’un lecteur qui comprenne directement son point de vue, son travail. Il requiert son attention, lui demande de prendre du temps avec des planches très fournies et peu bavardes. Il impose un questionnement », analyse le commissaire d’exposition. Une fois que l’œuvre est publiée, je ne veux plus la commenter ou donner des explications complémentaires. Pour moi, c’est l’œuvre qui dit tout », défend fermement et depuis toujours l’auteur. Pourtant, depuis une dizaine d’années, avec la publication de son space opera Knights of Sidonia, que l’on rapproche volontiers de la série télévisée Battlestar Galactica, Tsutomu Nihei s’est employé à rendre son œuvre plus accessible. Sidonia est le nom du vaisseau sur lequel se sont réfugiés des habitants du Système solaire après son explosion, en quête de nouvelles planètes à habiter. Un effort d’ouverture qui s’est manifesté par un glissement de style au milieu de la série, tant sur le plan graphique que sur le plan scénaristique. L’auteur explique “Blame !” était ma première série, j’ai fait ce que j’avais envie de faire sans me demander si les lecteurs comprendraient, sans me soucier d’eux. C’était pas mal de bosser ainsi mais ça peut amener des regrets. Pour “Aposimz”, je ne voulais pas que les lecteurs se sentent perdus. J’ai tenu à tout clarifier, d’où la présence de beaucoup plus de dialogues, notamment. » Tout le monde n’a pas aimé mon évolution » Plus que des planches bavardes, ce qui frappe lorsqu’on tient entre ses mains Blame ! et Aposimz, c’est la rupture radicale dans la couleur dominante. Le noir aveuglant laisse place à un blanc laiteux, parfois poisseux. Il s’agit d’un glissement technique comme métaphorique, interprète Stéphane Ferrand, on peut le mettre en parallèle avec l’effacement génétique de l’humain. » Le créateur y voit également un défi technique Je pense que j’ai trop travaillé avec le noir et, aujourd’hui, je voudrais vraiment m’exprimer à travers des traits. » Des traits qui tirent d’ailleurs presque vers le pointillisme, là ou vingt ans plus tôt le lecteur affrontait un trait vif, rageur. En clarifiant sa ligne artistique, en assumant un virage plus pop, Tsutomu Nihei a su gagner l’affection d’une nouvelle génération de lecteurs. Très respecté pour sa patte sans concession, admiré pour abattre un travail colossal sans assistant – fait assez rare aujourd’hui –, Nihei a également participé à la production des adaptations animées de ses œuvres, disponibles depuis peu sur Netflix. Une troisième est même en préparation. Le mangaka, par ailleurs très tourné vers l’étranger, contrairement à certains de ses confrères et consœurs, regrette toutefois que certains de ses premiers fans au Japon désapprouvent le changement. Ils n’ont pas tous aimé mon évolution du noir au blanc. D’aucuns laissent des commentaires sur Amazon en disant que ce n’est plus Blame !. En même temps, j’ai gagné des lecteurs, donc je pense qu’au fond j’ai eu raison… » Nos principaux articles sur le festival d’Angoulême 2019jKEV.